Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 22:00
Bonsoir Divine Maitresse.
 
Est ce que vos origines caucasiennes et votre  splendeur  sont un aimant magnétique contre lequel ma volonté s'absorbe?
 
Chaque jour j'ai le désir le plus profond de rendre  hommages à votre splendeur et votre  beauté. 
 
A mon besoin d'intégrer votre sérail où le mâle est entièrement à votre disposition et subit vos ordres, vos volontés et votre imagination perverse, vous répondez déja par votre éducation.
 
Chaque jour je vous vénère et vous adule ainsi que je vous contemple et vous admire dans vos tenues les plus simples et vos tenues les plus strictes, victoriennes ou classiques, ou bien débordantes de la vitalité de la dominatrice cuissardée ou bottée.
 
Je  vous admire à travers vos talons qui vous réhaussent, vos bas fins , vos bas noirs, vos bas chairs, vos bas couture impitoyables qui dessinent la ligne que ma langue soumise aimerait suivre, frottant rageusement ou humidement.
 
J apprécie aussi vos guépières, vos corsets , vos porte jaretelles, vos robes et vos jupons à l'occasion de vos mouvements de jambes , ou lors des moments où vous souhaitez manifester cette forme d'autorité et déeité.
 
C'est toujours un plaisir immense de partager votre univers, magique, érotique et féérique.
 
Je suis heureux d'être cet homme plongé par Vous Madame, dans l'univers de la sensation pure et totale. en quelque sorte me sentir comme creusé, investi, habité mais non seulement de chair mais d'une volonté autre. 
 
Vous avez compris Madame que je suis un homme à mener, éduquer, faconner, parfaire et sublimer.
 
Appartenir n'est pas une fin mais le début de la Vie, celle où l'abandon auprès de la Guide permet de sublimer la pierre brute qui deviendra diamant.
 
Je suis orgueilleux à outrance de vivre ma soumission pour la fierté de l offrir. Sans la concevoir de manière caricaturale, frlatée ou ponctuelle.
 
Je désire vous offir l'intégralité de moi-même, dans les caches les plus obscures, les plus secrètes... Ma volonté dissoute dans l'offrande et l'acceptation...
 
Je baise votre main gantée ou dénudée autant que vos escarpins ou bottines en guise de fervente soumission.
 
Vous êtes ma Supérieure, ma flamme et mon ardeur 
 
Paris le 9 janvier 2010
Votre génie Aladin
Par Lady Lorin
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 00:00


legos

Et vous ?
Lady Lorin, the Mère Noel. 

Par Lady Lorin
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Mercredi 9 décembre 3 09 /12 /Déc 00:24

Cette année, option DECO; ça me change !
(sans M6 please, je ne suis pas fan des blondes surdimensionnées). 

Et pour me pavaner nue sur mon canapé, j'aimerais ceux là :
http://www.k-loushop.com/s/4562_30718__coussin-noir-3-personnages
http://www.k-loushop.com/s/4562_31365__coussin-noir-4-personnages

ou le service pour prendre le thé et vous à mes pieds :
http://www.k-loushop.com/s/4562_30723__assiettes-hotel-des-doux-plaisirs-

Ces cadeaux doivent pouvoir s'acheter en magasin: 
http://marais.evous.fr/Fleux-un-amour-d-interieur-grace-a.html 


Pour les têtes penchées sur mes bonheurs d'en bas, j'ai révisé les collections chez Sergio Rossi : 
http://www.sergiorossi.com/us/en/eStore/women/women-shoes-FallWinter2009-Collection/Booties/P-PELLE-Patent-Leather-Rubber-Sole-Bootie.aspx

A vrai dire, je meurs d'envie d'une très belle paire de bottines. 
 

Pour les hommes de goût et de talent :  http://www.sergiorossi.com/us/en/eStore/women/women-shoes-FallWinter2009-Collection/Booties/P-PELLE-Leather-Zip-Platform-Bootie.aspx

 

Ou plus classiquement : 
http://www.sergiorossi.com/us/en/eStore/women/women-shoes-FallWinter2009-Collection/Sandals/P-PELLE-Suede-Sandal-Piping-Detail.aspx

En taille 40 les bottes et les bottines.
En 39,5 les escarpins à bouts ronds.

Et si vous ne pouvez pas m'offrir une pin up pour de vrai, il y a celle ci :
http://www.artedalmondo.it/fr/detail.php?id=13103&id_p=

Coté soins et beauté, je reste fan de  Biologique Recherche, des massages et des soins complets.

Les voilà : http://www.biologique-recherche.com

Ou bien un "Grand soin du visage" de 1h30 chez  Beauty Room, juste en bas de l'hôtel Costes Saint Honoré..  hum.. avant, après.. je n'ai que leur téléphone : 01 42 44 50 33.

Pour ma peau douce et détendue, et puis l'âme aussi, offrez moi des forfaits magiques chez  Wassana-Beauty (
http://www.wassana-beauty.com) à l'institut Paris VIII. En particulier un forfait hammam Lotus Royal ou Fleurs de Tiare..

Chez  Agent Provocateur, d'abord allez voir les incandescentes vidéos de cet irrésistible créateur de dessous anglais !

Si vous êtes assez riche et généreux, vous pouvez vous autoriser un passage sur les pages :
http://www.agentprovocateur.com/collection/soiree.html

Puis, au rythme de vos palpitations, faites moi parvenir un voucher :  http://www.agentprovocateur.com/online-gift-vouchers.php

Et ce jouet là : http://www.agentprovocateur.com/accessories/whips-and-paddles/info/paddle~black--red

Et que l'un d'entre vous me trouve l'eau de toilettes Féminité de Bois (avec vaporisateur, évidemment) de  Shiseido. 

 

A plus tard, j'ai concocte mes envies 2010..

Lady Lorin

Par Lady Lorin
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 23:09


Le petit nom de Paul me fait penser à un garnement de 8 ou 9 ans, tout droit sorti de la guerre des boutons, sa fronde à la main. Pas vous ?

Paul m'a contactée pour me demander si je voulais bien le dominer un peu (enfin, pas qu'un peu).
Prise au jeu. Je suis souvent sollicitée par des âmes masculines cherchant le fouet et la badine - ce doit être mon look grande brune musclée qui les inspire, mon coté Barbarella sauvageonne. J'ai déjà goûté à des fessiers mâles, j'en ai maltraité quelques-uns, en club ou dans l'intimité, mais pas beaucoup. Et puis… je crois que je serais plus sûrement happée par une soumise, disons une jeune nana qui en "voudrait" et à qui je ferais faire (et prendre) les 400 coups..
 



Revenons à Paul. Derechef, j'ai répondu (hautaine) avec quelques clichés cinglants pour lui dire que oui, j'étais désormais sa Lady, sa Maîtresse sulfureuse d'un écart escorté. Condition : qu'il aille au préalable chercher un plug en magasin, histoire de s'amadouer les tendres chairs et de me préparer le terrain.

Paul a obtempéré… mais pas trop vite. Parce que les chairs de Paul, justement, sont sensibles… dociles si on insiste, mais quand même.

Diversion : à la vue de mes photos, Paul m'a demandée si je n'étais pas, pareillement masquée, au C&C (les amateurs reconnaîtront) le jeudi précédent… bigre, mes jeux de masques vénitiens me démasquent ! Oui, j'y étais, Dominette en skaï et dentelles, pour vous servir monsieur.
 Pendant ce temps, je patiente en pensant au plug. Dans la foulée, je rappelle à l'ordre mon correspondant pour qu'il saisisse la notion de respect (DUE!) à sa Lady, en écrivant bien et en majuscule toute interpellation me mentionnant. De bonne volonté, mais coriace le petit Paul.



 

 

Paul finit par trouver l'engin. Mais il a les ch'tons, le loulou. De se le mettre, de se l'enfiler, et de me raconter tout ça. Je préconise dans mes emails la douceur des lubrifiants. Paul trouve mieux que ça : il se fait gentiment enfiler le jouet par sa Maîtresse régulière (que j'aimerais bien connaître au demeurant). Et il me raconte. Que ce n'était pas si désagréable (ben tiens, comme si je n'étais pas au courant). Que ça vibrait, que c'était délicat, émouvant. Le rendez-vous est gagné, la date prise. Sur les conseils de l'enfileuse, Paul propose de m'attendre à quatre pattes, nu et les yeux bandés pour l'heure de notre rendez-vous. Parfait pour Barbarella.

Je suis arrivée dans une jolie chambre bleue, diablesse vêtue de skaï à fermeture éclair et de transparences qui ne cachent rien.

Un sac à la main, tout noir, enfermant précieusement ma cravache, quelques bêtises, et mon jouet préféré pour la circonstance : une ceinture gode magnifique, de taille plus que respectable, le cuir rose bonbon pour me sentir plus Femme que jamais lorsque je baise un cul, qu'il soit mâle ou femelle.




Lors de notre rendez-vous bleu, j'ai joué et compté avec les fessiers rougis de Paul (garnement bien plus grand et robuste que les petits voyous de mes films). Il a mérité quelques suceuses récompenses, puis il a montré les dents de sa rébellion. J'ai dû le menacer de ma ceinture, il en a goûté la taille imposante, les yeux clos… calmé un instant, l'esprit assoupli…
 




Son cœur de voyou n'a pas pu s'empêcher de reprendre arrogance, et croyez-moi, j'ai bien failli lui défoncer le cul à mon grand Paul. Il s'en est fallu de peu. Ses implorations ont été telles que je me suis retenue. Je me voyais dans le miroir, immense et noire et ma proie solidement ancrée au bout de mes ongles rouges, son cul à la portée de ma fiévreuse érection cérébrale … bon sang, il y a une ivresse qui monte lorsque l'on va pénétrer un cul qui s'ouvre, ça vous vient des tripes, ça vous vient de loin, et ça vous fait bander les neurones avec une violence si bestiale qu'elle ne discerne plus ses limites qu'à grand peine..

Comme je vous comprends, messieurs, dans ces moments là…

Paul, cher Paul, si nous avons la chance de revivre un peu de ce bleu, je te prie de bien contenir toute parole arrogante. Tout soupçon d'arrogance. Ou bien, je te promets, tu pourras crier et réveiller toutes les âmes blasées du quartier, quoique tu dises, je te prendrai comme une chienne écartelée.



Lady Lorin
 

Par Lady Lorin
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 13:47

 Non. Cela n’a pas commencé comme cela. Je me suis tapée ma première fille sur demande de mon Maître-correspondant - c’était à l’époque : mon psy, mon coach, mon esclavagiste, mon aimé et le plus haï de mes amants virtuels. 

Marion.
 
Draguée sur yahoo rencontres, et rendez-vous au restaurant japonais pour se flairer l’une l’autre avant passage à l’acte. Marion était très jolie, une trentaine d’année, un corps de jeune maman qui tient clairement à rester un bon bout de femme désirable. Le premier éclair lorsque nos corps se sont rapprochés, ce fut la douceur de sa peau. Bon sang, jamais caressé une peau si douce sur un mâle de mon espèce, jamais !

 

Puis ses seins. Effroyables. Irrésistibles. Cette tendresse sans fond que l’on ne peut plus quitter des mains. Les palper, les caresser, les grignoter, les boire, oui les boire et se les digérer pour soi seule, qu’elle ne m’en prive plus maintenant que j’y ai goûté…

Je n’avais jamais touché une femme (sauf en club, à peine léchouillé une petite chatte à portée de ma bouche). Pourtant Marion a considéré que j’étais une véritable « mangeuse de femme ». Flattée et interloquée. Fière sûrement, aussi.

 

 

Ensuite il y a eu Bella. Saisie à la sauvette sur un site de rencontre. Et baisée sauvagement sur son canapé alors que son mec était interdit d’accès au salon, cloturé dans la chambre. Drôle de souvenir. J’imaginais le petit copain en train de se branler activement pendant nos frottements de cuir, de peau et de chattes. Bella était toute menue, un corps d’adolescente et une déprime bien mûre que ses trente ans lui faisaient endurer. J’ai eu très envie de lui claquer les fesses à la petite Bella. Ce jour là, je n’ai pas osé.

 

 

Puis la défrayante des propositions en mode escort. Hum.. le couple dont madame est à initier. Ce sont mes rendez-vous préférés.

 

 

J’aime que la belle à déflorer ait les yeux bandés. Que monsieur soit enfermé les premières minutes dans un rôle de voyeur, la bite agitée et les yeux brillants. J’aime me glisser contre la peau de cette femme qui tremble, qui désire, qui succombe. J’aime qu’elle entende ma voix chaude et qu’elle m’imagine dévoreuse. J’aime que son amant la rassure et lui décrive mes cuisses musclées, mon cul arrogant et mon regard d’insolente avertie.

 


Et les Duos. Avec un grand D s’il vous plait. Il n’y a rien de meilleur ni de plus bandant que deux femmes complices qui désirent le même achèvement d’une bite. 

Duo d’entrepreneuses : les femmes sont les maîtresses du jeu. Elles entrent en scène en noir, cuissardées et flamboyantes. D’autorité elles vous fessent, perverses. Bienveillantes, elles rassurent l’animal-enfant et caressent vos couilles par en dessous tandis qu’elles vous godent gentiment. Puis tout s’emmêle, le trio part en feu d’artifice et c’est l’homme (enfin !) qui prend sa revanche sur les chattes attisées et les culs des femelles apaisées.

 

Duo de sensuelles érotiseuses : c’est en vagues et en rondeurs qu’elles déclinent leurs douceurs. Les deux femmes s’embrassent et les langues s’avalent. Les seins se reflètent et se caressent en quatuor. Les cuisses dessinent des courbes et l’on passerait des heures à contempler l’œuvre. Extase du 69…


L’absolue résolution des femelles à s’opposer pour mieux s’aimer, les rivales s’accouplent et se lèchent, elles se bouffent et les hanches s’affolent, le rythme devient insoutenable et les trous crient à qui veut bien les prendre, tous, toutes, dedans, partout, vite.

 

Duo sous le thème du contraste : l’une est docile, l’autre est imposante. L’homme se délecte à voir la première sous le joug de la dominante. Il bande déjà à l’idée de se faire lui aussi la soumise, et il bande encore plus fort s’il lui est permis de prendre la chienne rebelle. Il bande et se branle de leur combat, sexuelles batailleuses.

Dans l’ivresse du trio, l’homme réussit à s’engouffrer dans la chatte obéissante, et c’est un gode qui le prend par derrière pour doubler la pénétration à travers sa virilité décontenancée.

Reddition.


Il sera le seul vainqueur, car il n’y a qu’une bite qui délivre de la petite mort.

Duos. Duels. Duales.


Signée : Lorin, avec un grand D.

Par Lady Lorin
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Qui c'est Lady Lorin ?

Lady Lorin, c'est un kaleidoscope de bouts de moi.
C'est un peu mon oeuvre, aussi.
Spermatozoidée par mes amours et ovulée de mes aventures.

Je la dorlotte, je la lisse. Je la malaxe ou je l'écrase puis je l'étire pour lui donner d'autres formes.
Je la grandis.

Contact

Email :

lorinaparis@yahoo.fr

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