Douce

Va ma Douce, va, donne-toi du plaisir. Une condition. Si tu es chez toi, je veux toujours que tu attaches la gagball sur ta bouche lorsque tu te fais jouir. Je veux que tu t'y habitues jusqu'à l'apprécier, qu'elle devienne comme une seconde peau. Penses que c'est mon membre que tu as dans la bouche.

-Recommence la photo de ton cul en grand format, même position, ouvre toujours très grand ton anus. -- fais-moi la même photo de ton cul mais cette fois-ci avec le plug dedans.
-une autre photo de ton visage grand format, les yeux fermés, et tes deux petites mains qui t'étranglent fort (penses que ce sont les miennes).

Puis tu vas en feras trois autres avec la gagball dans ta bouche et le foulard serré fort autour de ton cou, comme avant. 

Après les exercices et punitions, tu jouiras, pour moi, pour nous. 
Voyage, 10h55.
Cher Maître, Je vous propose de vous mêler à mes exécutions, heure par heure, étape par étape.


Je viens de ma douche.
J'ai excité ma chatte et je l'ai faite gonfler, comme je sais le faire, pour la préparer. Au bord de jouir, très au bord.
J'ai enfoncé mon index le plus long possible dans mon cul, pour ajouter à ma préparation (surtout pas le plug, mon vagin est en manque, c'en est terrifiant). Je me suis maquillée. Je me suis huilée, surtout le cul et la chatte, bien sûr. Je suis nue, mouillée, huilée, belle, excitée, couverte d'une sorte de tunique en soie blanche, serrée sur la taille, mais dérobant à peine ma nudité et mon intimité. Je suis prête.

Je me sens belle, vraiment. J'espère que vous le sentirez sur les photos. J'aimerais que vous perceviez ces ondes depuis votre ordinateur.
J'aimerais que cela vous excite, et vous donne envie de vous branler. Je vais imaginer cela. Douce.

 

 


Voyage, 14h01

Maître 
J'étais optimiste en parlant d'heure par heure… Je me suis effondrée après la première vague. Après mon dernier message, j'ai fait les trois photos.
Elles sont en assez grand format, you won't sell yourself short. Hopefully.

La première de mon cul est immense. La seconde m'a pris plus de temps; j'ai glissé et enfoncé le plug dans mon anus en prenant bien soin de sentir chaque millimètre de Votre âme pénétrer la mienne. Profondément. Très profondément. Le plug était très froid - doux apanage du métal. Je crois que j'aurais aimé l'enfoncer encore davantage, je crois que je l'aurais aimé encore plus gros, ou bien je divaguais. J'ai pris plusieurs poses, et au fur et à mesure, je sentais mon vagin se remplir de liquide, se tremper, glousser, c'était très bon. C'est peu pratique de tenir le plug enfoncé dans son cul en revenant vers l'appareil, voir, et recommencer.


La troisième a aussi ses essais. J'ai tenu à garder le plug dans mon cul pour serrer mon cou. Pour m'enivrer de vos mains autour de mains cous pendant que vous me sodomisiez de métal. Mon cou a des marques rouges, à coté de mes doigts. Ce sont les essais. Et je suis heureuse de vous montrer ma dernière trouvaille graphique, Schiele à coté de mon visage, la chatte de cette femme en collants noirs est hypnotisante (en tout cas, j'aime la regarder de longues minutes).

J'ai ensuite mérité une première jouissance. Je suis retournée dans ma douche, j'ai joué du plug dans mon vagin, puis je suis retournée avec un brin de nostalgie dans mon cul qui ne s'y attendait plus. Cela glissait moins facilement, l'eau est plus rugueuse et moins conciliante que l'huile. En excitant mon clitoris avec le jet d'eau, j'ai ouvert mon cul, ouvert, et encore. Et le plug s'enfonçait, ressortait, et s'enfonçait de mieux en mieux. J'ai manqué de jouir en oubliant la gagball. Folie. J'ai arrêté pour enfiler la ball autour de mon cou (pas simple à attacher sans miroir). Puis j'ai repris ma danse sous l'eau. Vous sentir dans ma bouche était encore mieux. J'ai sucé, tété la balle, je rêvais que vous vous vous enfonciez dans ma gorge, que vous la serriez, que vous alliez m'étrangler, que j'en crèverais, que j'en jouirais. J'ai joui de mon cul, de ma bouche et de l'eau sur mon clitoris qui ne sait plus bien où il habite avec autant de plaisir après tant d'abstinence. 

J'étais épuisée, je suis allée me coucher, en remettant ma couette et rangeant l'appareil. J'avais besoin d'une pose, avant de reprendre. Je me suis endormie comme une enfant sortie d'une partie d'anniversaire, débraillée, pleine, regorgeant de vous; satisfaite d'être une Chienne et une Salope à qui il reste encore un bon bout de jour et de lumière pour la suite de sa journée. 

Je vous embrasse, avec ma bouche et mes lèvres détendues, ouvertes. Douce

 

 


Voyage, 15h45

Voici la nouvelle vague d'images. Après ces photos, je suis allée, comme vous me l'aviez demandé allée me faire jouir, pour nous, pour Vous.
'ai gardé la gagball - qui pince et marque la commissure de me lèvres, donc prolonge son effet. Je me suis faite jouir avec le plug, sous l'eau - l'eau est tellement précise, constante et débordante. J'ai joui une première fois en suçant la balle comme si vous me preniez encore profondément la bouche. J'aurais aimé connaître votre voix et vous entendre me traiter de salope, je pourrais me le rappeler dans ces instants là. J'ai essayé de vous imaginer me traiter ainsi. Puis je suis restée un quart d'heure, ou plus, à flâner dans l'eau chaude. 

J'ai voulu remettre ça. J'avais toujours la balle. La seconde fois, j'ai eu du mal à jouir, mon corps commençait à saturer. J'ai forcé, loin, loin, en me disant qu'une Chienne obéissait à son Maître, que vous m'aviez demandé de jouir pour nous, pour Vous, donc j'allais obéir, je devais jouir, pour obéir... et j'ai fini par exploser encore. 

Je suis merveilleusement libérée, enfin sortie des eaux (sourire).
Je vous porte en moi. J'ai des traces rouges sur mon cou, d'autres aux coins de mes lèvres. J'ai la sensation nette dans mon cul de votre passage de métal. Ma chatte, de mon clitoris au fond de mon ventre, la vive mémoire des chairs, du métal, de Vous.

Merci Maître, merci beaucoup. Je sors dehors, je suis en jean et pull rose, fraîche. Et les cheveux très attachés. 



Je vous embrasse, Douce, votre Chienne, pleine.

Qui c'est Lady Lorin ?

Lady Lorin, c'est un kaleidoscope de bouts de moi.
C'est un peu mon oeuvre, aussi.
Spermatozoidée par mes amours et ovulée de mes aventures.

Je la dorlotte, je la lisse. Je la malaxe ou je l'écrase puis je l'étire pour lui donner d'autres formes.
Je la grandis.

Contact

lorinaparis@yahoo.fr

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